Dans le département de l’Ain, sur la période de 2000 à 2014, Santé publique France a identifié 11 cas suspects supplémentaires aux 7 cas signalés par le registre Remera a indiqué l’agence ce mardi. Des analyses complémentaires ont été initiées à partir des données hospitalières (PMSI). Ce travail est actuellement en cours a souligné SPF.
Le premier bilan dans le département de l’Ain de ces malformations qualifiées de « Agénésies transverses des membres supérieurs » : Entre 2000 et 2008 : 7 cas suspects (réductions des membres supérieurs incluant les ATMS1) ; Entre 2009 et 2014 : 4 cas suspects supplémentaires, parmi lesquels figure a priori le cas rapporté par le journal Le Monde. Ces 4 cas s’ajoutent aux 7 cas identifiés et transmis par le Registre.