Les affres du Brexit, suites. En difficulté lors du congrès de son parti, la Première ministre du Royaume Uni Theresa May a tenu à préciser ses souhaits sur le statuts des nombreux européens, Français, Espagnols, Allemands ou autres qui souhaiteront s’installer en Angleterre, en Ecosse, au Pays de Galles ou en Irlande du Nord pour y résider après le Brexit. Ceux ci seront, avec la fin de la libre circulation, traités comme tous les autres immigrés à indiqué la première ministre. Ces immigrés européens devront faire état de leur niveau de rémunération ou de leurs compétences sur le marché du travail a déclaré, en substance, une Theresa May bousculée par l’aile droite du parti conservateur et Boris Johnson.
La semaine dernière, le Parti travailliste réuni en Congrès, a proposé une solution radicalement opposée à cette position. Le Parti travailliste a décidé de proposer un nouveau référendum sur la sortie du Royaume Uni de l’Union européenne.