La situation s’accélère à l’université Toulouse Jean Jaurès occupée depuis plusieurs mois. Ce mercredi, saisie par le syndicat UNi, classé à droite, la justice a ordonné à l’administrateur provisoire de l’université de procéder au déblocage du site. Quelques minutes plus tard, ce dernier a annoncé, dans un courrier adressé au personnel, qu’il adressait une requête officielle à la préfecture pour demander la réouverture du campus. Et ce, contre la décision de l’assemblée générale réunie ce lundi. La préfecture prendra t elle le risque de mobiliser crs ou gendarmes mobiles sur un site ouvert et très étendu, qui plus est situé dans un quartier qui a connu plusieurs jours d’émeutes au mois d’avril ?