L’université Toulouse 1 Capitole vient de faire son entrée dans le top 50 2017 des meilleures universités du monde selon le classement dit de Shangaï.
L’université de Toulouse 1 Capitole vient d’intégrer le top 50 du classement 2017 de Shanghaï dans la catégorie «social science — economic». Sa composante, Toulouse School of Economics (TSE), se classe en 17e position.
« C’est une fierté pour Toulouse qu’une de ses universités figure dans ce palmarès de renom. C’est la reconnaissance internationale de l’excellence toulousaine en sciences sociales et économiques, obtenue grâce au travail accompli par notre communauté universitaire. J’adresse mes chaleureuses félicitations à Corinne Mascala, la Présidente de l’Université Toulouse Capitole. Je salue également Jean Tirole, Prix Nobel d’Economie en 2014, qui, avec ses équipes, a choisi Toulouse, et dont les étudiants bénéficient aujourd’hui de la formidable qualité de l’enseignement prodigué au sein de TSE » déclare Jean-Luc Moudenc, Président de Toulouse Métropole, Maire de Toulouse.
Le classement académique des universités mondiales par l’université Jiao Tong de Shanghai ou classement de Shanghai (appellation commune du Academic Ranking of World Universities en anglais) est un classement des principales universités mondiales, établi par des chercheurs de l’université Jiao-tong de Shanghai en Chine. Ces institutions sont classées selon six critères, notamment le nombre de publications dans les deux revues scientifiques Nature et Science, le nombre de citations de ces articles dans des revues scientifiques référencées, le nombre de prix Nobel et de médailles Fields attribués aux élèves et aux personnels de l’université.
Ce classement, régulièrement trusté par les Universités Anglo Saxonnes est critiqué par une partie des universitaires. Selon ces derniers, il ne tient compte que de critères privilégiant la taille de l’établissement : ainsi, des pays disposant de nombreuses écoles ou universités, d’excellence mais de petite taille, passeraient à côté de ce classement. Enfin, ce classement ignorerait les universités, centres de recherche ou écoles travaillant en réseau comme c’est de plus en plus le cas en Europe. Ce dernier point est tout particulièrement dénoncé (et mis en évidence) par le prix Nobel de physique Albert Fert. (avec Wikipedia)