Monter un dossier de financement pour l’achat d’un bien immobilier est une opération complexe. Interviennent dans le processus, banques, assurances, notaires, et parfois, agents immobiliers. Des garanties sont alors requises. Explications, mode d’emploi.
C’est le bon moment pour procéder à l’achat d’un bien immobilier. Les prix du marché sont raisonnables et les taux de crédits bancaires actuellement favorables. Mais, l’opération reste complexe. Sauf exception, de nombreux acteurs interviennent dans le processus : acheteur, vendeur et notaire bien sûr, mais aussi banquier, assureur, et, de plus en plus souvent, courtier et agent immobilier. Dans le processus d’achat, il faut trouver un bien, s’accorder sur le prix, monter le dossier de financement, mixer apport et crédit bancaire, apporter des garanties à l’établissement financier et in fine signer l’acte authentique devant notaire. Dans cette procédure, un point important est à bien envisager : celui de l’assurance crédit immobilier.
L’assurance sert à garantir le prêteur d’argent. En cas de défaillance, l’assureur se substitue et rembourse le prêt. Cette assurance est habituelle dans les opérations d’achat immobilier. Complémentaire aux autres formes de garanties du crédit, caution personnelle, caution d’un tiers ou hypothèque, l’assurance emprunt sert parfois à couvrir le décès de l’emprunteur ou une période de chômage postérieure à un licenciement.
Appliquez pour une assurance emprunt avec adppc.fr si vous cherchez une police spécifiquement dédiée à l’emprunt immobilier.
Il existe aussi la formule assurance crédit de assurance-pret-pas-cher.com qui pourra vous être très utile dans le contexte d’un crédit immobilier nouvellement acquis.
Finalement, consultez également l’assurance emprunteur chez adugrandlyon.com qui est idéale si vous cherchez un emprunteur immobilier de qualité dans votre région.
Les points à vérifier avant de souscrire une assurance
A l’instar de tout contrat, une assurance lie la personne qui la souscrit. Il est donc nécessaire de bien prendre le temps de lire l’intégralité du contrat. Et éventuellement de se faire assister par un conseil : notaire, banquier, agent immobilier ou avocat. Plusieurs points sont à vérifier :
La nécessité de souscrire ou non l’assurance
Le plus souvent, cette assurance emprunteur est sollicitée par l’établissement financier qui apporte le crédit destiné à combler l’apport personnel de l’acquéreur du bien. En fonction de votre situation, le banquier sera plus ou moins exigeant. Dans la très grande majorité des cas, le prêteur exigera une triple assurance : décès, invalidité et chômage. Mais dans certains cas nul besoin de couvrir ces risques si les garanties par ailleurs apportées sont suffisantes.
les conditions suspensives liées à la procédure d’achat du bien
L’opération financière destinée à l’achat d’un bien immobilier est complexe et encadrée par la loi. L’acquéreur dispose de délais de rétractations, le vendeur peut revenir sur sa promesse éventuellement contre paiement de dommages et intérêts. Mais au finale, la vente peut ne pas aboutir. Si vous souscrivez une assurance, il est donc nécessaire de bien vérifier les « conditions suspensives et les conditions résolutoires prévues dans le contrat. Tout comme doit être envisagée et vérifiée l’hypothèse d’un transfert du bien en cas de revente avant remboursement définitif du crédit immobilier.
Le prix du contrat, les échéances, le coût total
Enfin, dans une économie de marché libérale, de nombreuses offres existent. A couverture équivalente, le prix de l’assurance, les échéances et le coût total pourra servir à négocier ristournes, rabais.