« Après le temps perdu l’an passé à renégocier un accord qui avait été accepté par toutes les universités toulousaines, le vote de l’université du Mirail constitue un nouveau coup d’arrêt pour l’IDEX » a commenté mercredi la députée européenne et candidate aux municipales à Toulouse Christine De Veyrac. « Je le regrette vivement car ce projet est porteur d’un financement d’Etat conséquent pour Toulouse, décidé par le précédent Gouvernement » a t elle souligné dans un communiqué.
« C’ est un nouveau coup dur pour l’enseignement supérieur dans notre ville, qui s’ajoute au conflit que l’Etat a créé à Sciences-Po par son désengagement financier » a encore déclaré Christine de Veyrac.