A quelques semaines des élections présidentielles de 2012, les grandes manoeuvres se poursuivent. A la télévision et localement. Soutien de François Bayrou, l’ancien maire de Toulouse, Philippe Douste Blazy va donner à Toulouse une conférence devant le club toulousain des élus proches du Nouveau centre. Les centristes du Nouveau centre, soutiens d’Hervé Morin, ont finalement décidé de soutenir non François Bayrou mais le président sortant Nicolas Sarkozy pour la présidentielle.
Si le thème de la soirée est intitulé « Innover pour financer les projets métropolitains du futur », sa proximité avec l’élection présidentielle, laisse suggérer d’autres buts. Il est à noter que cette réunion aura lieu quelques jours après le passage de François Bayrou à Toulouse le 10 mars.
Cette conférence programmée le lundi 19 mars prochain est organisée par Marie Deque, René Bouscatel, François Chollet, Serge Didier et Chantal Dounot.
Photo CC/Flickr/Palmipode : Philippe Douste Blazy, pourtant fondateur de l’UMP a vivement critiqué la dérive droitière de son parti et décidé de soutenir très activement François Bayrou pour l’élection présidentielle de 2012.
Déqué, Dounot et Chollet sont UMP aux dernières nouvelles… Cela n’est-il pas une énième manoeuvre du club des 5 (aigris) et de leur peu courageuse alliée, Veyrac, pour déstabiliser Moudenc ?
Le mal-aimé des toulousains saura t-il attirer leur attention?
Cela n’est pas impossible compte-tenu des résultats de l’élection présidentielle de 2007.
En tant que médecin, il s’est bien exprimé sur les conséquences du chômage sur les salariés.
Dans un pays où le travail ne peut-être attribué à chacun, il y a lieu de s’interroger sur les effets de la formation que l’on promet à chacun.
Les jeunes diplômés galèrent et ils n’ont pas grand chose à espérer d’une certaine cohabitation avec les anciens salariés qui ont obtenu leurs diplômes il y a plus de 30 ans.
Même dans la majorité parlementaire, certains disent que les retraites ne pourront plus être financées, peut-être à cause de la réforme des retraites elle-même qui bloque toute modernisation des petites et moyennes entreprises.
Ce n’est pas le nombre d’actifs qui comptent mais leur efficacité.