Les polémiques ne sont pas uniquement politiques. La venue de Lana Del Rey sur le plateau du Grand journal en a créé une nouvelle. En effet, un des journalistes a évoqué les accusations de plagiat dont elle fait l’objet de la part d’une chanteuse grecque, Eleni Vitali. Depuis ce désagrément, la chanteuse boude les médias français, comme le confesse Voici.
Beaucoup d’autres questions émergent sur cette chanteuse aux lèvres botoxées. Elle s’est faite connaître grâce à une vidéo postée sur You tube. Et elle est devenue une star avant même que son album « Born to die » soit mis en vente. Slate.fr se pose des questions sur l’avenir de la chanteuse. » Est-elle encore un phénomène éphémère de l’Internet ? « Le site parle de « timbres de la colère » pour évoquer l’ambivalence des sentiments à l’encontre de l’artiste.
UN TALENT REMIS EN QUESTION
La jeune femme s’est déjà ridiculisée lors de l’émission américaine Saturday night live où « elle passait de graves surnaturels à des aigus ridicules, sans sens du rythme, avec un malaise évident. » Une « punition » méritée selon ses détracteurs. En effet, tout lui serait tombé entre les mains, sans efforts. A l’opposé, elle est érigée au rang d’icône par ses fans. En cela, Lana del Rey est à la fois un « succès planétaire qui n’a rien prouve et une pauvre chanteuse talentueuse lynchée sans l’avoir méritée. » explique le site.
UN SUCCES BOTOXE
Aujourd’hui, elle est jugée sur son album « Born to die« . Le verdict de Slate.fr est sans appel : son album va « cartonner ». Mais le journaliste regrette un disque « surproduit » où l’ « on étouffe sous les effets « . Trop de producteurs, trop de variation de voix : rien n’est authentique dans cette machine à tubes. Le site Slate ne prend pas de pincettes avec la chanteuse, « un cri grésillant, insupportable, résidu des pires productions du début de la décennie ». Mais où est la touche Lana del Rey dans cet album ? Le mystère perdure.