Dans la nuit de dimanche à lundi, les Anonymous ont lancé plusieurs attaques contre des sites publics ou institutionnels. En France comme dans le monde. La raison de cette nouvelle guérilla ? Les lois restrictives à la liberté sur Internet. Selon plusieurs témoins et le compte Twitter des Anonymous, les sites vivendi.fr et justice.gouv.fr ont notamment subi des attaques en règle.
En fin de semaine, les Anonymous avaient déjà lancé plusieurs attaques. Ces internautes anonymes avaient alors réagi à la fermeture par le FBI du site internet Megaupload et par la proposition de loi visant, aux Etats Unis, à mettre en place un système semblable au Hadopi français. Le site de l’Elysée ou celui de Universal avaient fait les frais des pirates du Web.
Localement, les Homonymous avaient eux hacké le site de la ville de Montauban en réaction aux propos homophobes de la député maire de la préfecture du Tarn et Garonne Brigitte Barèges.