La génération Y fait couler de l’encre. Pour beacoup, elle est considérée comme individualiste et égoïste. Mais qui est-elle réellement ? Ce sont des actifs qui ont entre 18 et 30 ans. « Cette jeunesse connaît une post-adolescence qui s’étire avec les études, elle s’adonne à un gymkhana avant de trouver un job stable mais arrive au bout du compte à s’insérer » explique le site Slate.fr.
« Dans les démocraties, chaque génération est un peuple nouveau » a écrit Alexis De Toqueville. Cette phrase n’a jamais pris autant de sens qu’aujourd’hui. Alors que le chômage des jeunes est au centre des discussions, cette génération Y fait trembler les entreprises.
SUR-DIPLÔMES
42 % de ces jeunes ont un diplôme supérieur. 17% d’entre-eux ont fait des études longues (master, doctorat …). Et pourtant, ce sont eux les indignés. Eux, les grand sceptiques face à la précarité du monde du travail. Malgré leur défiance sur l’avenir, ils seraient « un atout pour l’employeur ». La rubrique économique du Figaro.fr va plus loin. En effet, « les patrons jugent au contraire favorablement ces jeunes collaborateurs, qu’ils jugent plus ambitieux (33%), plus enthousiastes (30%) ou encore plus polyvalents. »
La confiance et l’interactivité sur le web caractérise la génération Y. Une nouvelle concurrence sur le marché de l’emploi.