Jeudi 3 novembre, la Ville de Toulouse sera de nouveau partie civile lors du procès en appel de l’explosion de l’usine AZF.
« Nous n’avons pas admis les attendus du jugement du procès en 2009, à savoir que Grande Paroisse était moralement coupable mais pénalement innocente. C’est pourquoi, nous nous devons d’être toujours présents dans ce procès. Nous voulons être aux côtés du ministère public pour participer à la recherche de la vérité sur cette catastrophe qui a meurtri la ville de Toulouse et ses habitants » a précisé Pierre Cohen.
Le procès de la catastrophe AZF se déroulera Salle Jean Mermoz à partir du 3 novembre. En principe, les débats devraient durer plusieurs mois. Mais avec la possibilité de saisir le conseil constitutionnel pour poser une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) certains avocats pourraient bien entamer une procédure qui pourrait entraîner un renvoi de plusieurs mois supplémentaires.