Dans un communiqué de presse Amnesty International France s’est dit « révoltée par la décision du Comité des grâces de Géorgie prise ce jour de laisser exécuter, le mercredi 21 septembre, Troy Davis, qu’elle considère comme un affront à la justice ». Pour l’ONG de défense des droits de l’homme « Le Comité des grâces manque à son engagement pris en 2007 de ne confirmer l’exécution que si sa culpabilité ne fait aucun doute ».
« Nos pensées vont à Troy Davis, sa famille et ses proches », déclare Geneviève Garrigos, présidente d’Amnesty International France.
« Nous pensons également à la famille de l’officier de police, Mark Allen MacPhail. Cette exécution ne leur rendra pas justice ».