Le Président de l’Assemblée générale de l’ONU, Ali Abdussalam Treki, a estimé mardi que le point de vue de nombreux pays en développement n’avait pas été suffisamment pris en considération à la Conférence sur les changements climatiques de Copenhague.
M. Treki, qui dressait devant la presse un premier bilan des travaux de l’actuelle 64e session de l’Assemblée générale, a toutefois affirmé qu’il fallait savoir avoir des attentes réalistes.
Il a invité à considérer les aspects positifs de Copenhague, comme le fait qu’un accord, même juridiquement non contraignant, ait été conclu.
Ce qui a été entamé à Copenhague sera poursuivi l’an prochain à Mexico, a-t-il observé, en souhaitant que l’ONU s’implique plus fortement dans l’avenir.