Interrogé sur un possible échec de la Conférence de Copenhague qui s’achève dans moins de trois jours, le secrétaire général des Nations Unies, maître d’oeuvre du sommet, Ban Ki Moon, s’était dit « raisonnablement optimiste » mardi.
Mercredi, lors d’un point de presse avec le chef du gouvernement britannique, Gordon Brown, il a expliqué qu’il restait deux questions à régler pour assurer le succès de la Conférence.
La première est de parvenir à « un objectif ambitieux » en matière de réduction à moyen terme des émissions de gaz à effets de serre.
La seconde est de combler le fossé séparant pays développés et en développement en assurant « un appui financier et technologique suffisant » des premiers en faveur des seconds, « particulièrement les plus vulnérables ».