L’annonce de l’abandon de cours d’histoire géographie dans certaines filières de terminale a fait déborder le vase de la colère. Aujourd’hui, à Toulouse comme dans toute la France, les enseignants font grève. A l’appel de la FSU et de la CGT éducation les profs réclament dénoncent les suppressions de postes, la réforme de la formation des enseignants et obtenir une meilleure revalorisation des salaires des professeurs.
Les syndicats attendent quelques 30 % de grévistes.
Plusieurs établissements sont fermés. Comme l’indique une affiche placardée à l’entrée de l’école primaire Monge dans le quartier Marengo : « ni classe, ni cantine, ni CLAE, le repas de cantine sera déduit du prochain paiement et en cas de problème contacter le responsable cantine« .
Autre conflit sociale programmé ce jour : celui des postiers. Dans cette convergence des luttes, les postiers, à l’appel de tous les syndicats, protestent, eux, contre la transformation de l’Etablissement public en société anonyme de droit privé.