Des reprises d’AC/DC, des Cure, de Sonic Youth ou Gainsbourg et Françoise Hardy. Pour la sortie du deuxième disque des éditions musicales toulousaines Winter Records, une grande fête a été organisée jeudi au Lieu Commun dans le quartier Bonnefoy.
Plusieurs centaines de personnes étaient présentes pour l’occasion et pour le premier concert de Minimal. Groupe minimaliste et toulousain comme son nom l’indique.
L’idée portée par ce deuxième opus des compilations Winter Records ést simple : 23 groupes et 23 reprises avec un impératif : réaliser par la même occasion un Sleevfaces de la pochette de l’album choisi pour reprise.
Au final une réussite orchestrée par Laurence Broydé, côté design.
Côté musique : 23 titres très éclectiques choisies librement dans le répertoire pop rock des 40 dernières années. Et plus d’une heure de musique.
Avec quelques bonnes surprises. Et un regret.
Le regret : la quasi absence de chansons interprétées en français.
Les bonnes surprises de ce Winter Records 2 : la reprise de « Suffragette City » de David Bowie par Flippin’ Heck, la version sautillante et très New Order d' »in Beetween Days » des Cure par le groupe toulousain Madmoizel K. Et celle aérienne et cotonneuse de King Crimson par Alexander Blake et The Harnays.
Enfin une préférence pour l’interprétation très particulière et vraiment réussie du « Touch too Much » d’AC/DC par Minimal.
Winter Records, achat, abonnement ou informations sur : www.myspace.com/winterrec