Entre place Esquirol et place Saint Etienne, quelques 300 manifestants ont tenu à crier leur soutien au mouvement social en Guadeloupe.
Menée par des membres du Parti occitan, la manifestation comptait des représentants des associations Antillaises de Toulouse, des syndicalistes et des membres de l’extrême gauche toulousaine Lutte Ouvrière et Npa.
« Malgré la reprise des négociations, les nouvelles de Guadeloupe restent mauvaises » confie Colette, chargée de la diversité au Parti socialiste.
Une solidarité d’abord économique et sociale, mais aussi un soutien politique de la part des occitanistes, favorables au fédéralisme et qui profitent de cette occasion pour critiquer une relation problématique entre « l’Etat central et sa périphérie ».
Aux cris de « solidarité » ou « Liyannay Knt Pwofitasyon » -le LKP en langue créole- les manifestants se sont séparés dans le calme.