D’un côté les militants des cellules du Parti Communiste toulousain, les activistes de Lutte Ouvrière, une poignée de trotskystes du Parti des Travailleurs et les myriades d’associations alternatives. Et de l’autre les partisans toulousains d’ un Olivier Besancenot, le vent médiatique en poupe, pour fonder le nouveau parti anticapitaliste et fédérer les multiples chapelles de l’extrême gauche française et toulousaine.
Entrisme et propagande
Tout commence par un nouveau support pour une nouvelle identité. De LCR, les proches de Besançenot et Krivine animent le site NPA31.org pour branche haute garonnaise du Nouveau Parti Anticapitaliste.
Autre moyen d’action, la constitution de groupes, quartier par quartier. Ainsi le NPA 31 organise des rencontres relais à Bonnefoy, dans le centre ville, comme à proximité de l’université ou de l’hôpital.
Une organisation de jeunesse, groupe LGBT et rencontres avec des salariés en lutte forment les 3 axes tactiques de la nouvelle organisation.
(Myriam Martin tête de liste de la LCR lors des dernières élections municipales, droit de propriété Toulouse7.com)
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