Jean Luc Forget et les deux autres membres du Modem élus au Conseil municipal de Toulouse ont décidé de siéger non inscrits mais dans la minorité dirigée par Jean Luc Moudenc. A défaut des 4 élus nécessaires pour constituer un groupe autonome et bénéficier des moyens matériels pour l’organiser, le Modem a décidé de siéger, « libre et indépendant ».
Face à l’impossibilité de créer un groupe autonome, Jean Luc Forget dit « regretter cet état de fait peu démocratique ».
Pour les prises de position en conseil municipal, et plus particulièrement pour le vote du futur budget rectificatif, présenté par la nouvelle majorité et Pierre Cohen, les partisans de François Bayrou affirment « qu’ ils voteront en conscience et en toute indépendance les projets portés par la municipalité. » Avec un critère unique : les engagements de campagne.
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