Le fait est révélé dans les pages éditoriales du quotidien Libération sous la plume de Michel Jourde, Maître de Conférence en littérature. L’écrivain, conseiller financier multicarte et ancien président du directoire du Monde, Alain Minc, aurait ainsi affirmé devant témoins que les écrits des universitaires de « Toulouse28 », l’intéressaient finalement assez peu. Usant de la dénomination administrative pour citer l’Université de Toulouse les propos du « major Minc », nous explique l’auteur, « c’est «Toulouse» (qui ne saurait prétendre être ni Madrid, ni Londres, ni Rome, ni Paris), et c’est «28», qui suggère une queue de classement stigmatisant une répugnante médiocrité ».
Mépris intellectuel
Bref, poursuit l’auteur de la réponse publiée dans le quotidien dirigé par Laurent Joffrin l’expression suinte »la haine des formes collectives de la vie savante » et « la permanence de la structuration géographique dans l’expression française du mépris intellectuel ». Fermé le ban !
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