La tension augmente au fil des heures dans l’entre deux tours des élections départementales en Haute Garonne.
Rancœurs, déceptions, choix tactiques, stratégie de la tension, l’entre deux tours des élections départementales en Haute Garonne donne lieu à des déclarations étonnantes de la part de candidats ou élus. Lundi, le leader de l’UDI en Midi Pyrénées et adjoint au maire de Toulouse Jean Jacques Bolzan avait ouvert le bal via le réseau social Twitter en déclarant que « le parti communiste qui est le parti historique xénophobe ». Cette sortie avait soulevé une vaste indignation dans les rangs de la gauche. Ce tweet a été supprimé.
@fbriancon @AimonsLaHG31 ce n’est pas un derapage c’est la réalité de l’Histoire
— JJBOLZAN (@JJBolzan) 23 Mars 2015
Éliminé dès le premier tour le conseiller général sortant l’écologiste Patrick Jiména, s’est lui aussi fendu d’un communiqué particulièrement acerbe. Une « sortie » saluée par le leader écologiste toulousain Antoine Maurice sur facebook mais qui a soulevé une vague de stupeur dans les rangs du PS où l’on indiquait mardi soir étudier d’éventuelles suites. Voici ce qu’écrit Patrick Jiména sur facebook :